Après un maigre repas dans une taverne, où mon talent de musicien ne cesse de croitre, nous reprenons la route vers Colvert.
Sur le chemin, je souhaite utiliser mon luth du buveur. Syalis de Király me lançant un regard noir, je comprends qu'elle me tannerait bien si j'entreprend d'exprimer mon nouvel art.
Le lendemain, une charrette détruite et deux cadavres confirmeront qu'elle fut avisée, même si la demande aurait pu être plus délicate pour la fille de diplomates.
Les deux cadavres se mettent en mouvement, et Syalis de Király et Konrad Emerias se sont fait mordre... comme dans la pièce de théâtre Les morts des mines, ils risquent de se transformer en mort-vivant...
Ils tiennent le coup, mais leurs états semblent précaires jusqu'à l'arrivée à Colvert. J'envisage d'écrire une pièce "Les morts des routes". Sa morale sera faîtes de prudence au détriment d'altruisme. Bien que la clémence qui m'anime trouvera toujours le courage d'aider les malheureux à mieux vivre.